Décalage des valeurs, taux agressifs, absence de deals value-add et d'actifs distressed, mais omniprésence des assureurs et des petits volumes...
On est encore loin de l'ébullition mais tous s'accordent sur ce constat, un frémissement s'est fait sentir sur marché de l'investissement immobilier français au deuxième trimestre, juste avant la douche froide de l'annonce de nouvelles élections législatives. « On constate une réelle (...)
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